c'est dans sur cette page que je compte publier des extraits de textes de mon carnet de voyage et des illustrations jettez y un coup d'oeil :)

Salut,  
Pour faire court, ce petit book résume le petit voyage que j’ai effectué en Inde,  l’expérience c’est révélée trèèèès enrichissante,  
 Donc voilà j’ai tenu un journal durant mes déplacements dans cet énorme paradoxe qu’est l’Inde. 
J’ai voulu la partager avec tt ceux qui de près ou de loin ont eu quelque incidence sur mon départ. 
Alors merci à toi…  
Je vais résumer 
,suis parti sur un demi coup de tête et un besoin de mesure personnelle, genre « vivre des trucs »faire de nouvelles expériences pour en oublier d’autres…partir avec un bloc de dessin, tailler la route et voir si mon ouverture d’esprit est un mensonge local ou non… 
Suis parti le 4janv2014 un trip pour l’année nouvelle ;).Petit budget pour un gros caprice et je me demande si cette échelle de valeur changera de mesure…   
Départ de Bxl à 8h00 du mat’, Suis encore fébrile, au contrôle de l’aéroport j’ai failli rester sur place ; la police de Zaventem avait une tache sur mon dossier ; »coup et blessures » une histoire vieille de deux ans et pour laquelle je ne fus que spectateur a bien failli me clouer au sol. Comme quoi on paie tj un peu pour les conneries des autres, l’inverse est probablement vrai…Bref, j embarque après des adieux austères , ce qui ne leur enlève rien d’intense, au contraire, mais je me sent comme à l' abattoir, il va m’arriver qqch chose mais impossible de savoir quoi…1e partie du vol Bbxl-Istambul suis tj fasciné par le décollage, mais surtout l’atterrissage, comme si la terre allait nous percuter et non l’inverse c’est presque de l’apesanteur visuelle.  
  
La véritable apesanteur c’est plutôt traduite par les 7heures d’attente dans le transit intestinal d’Atta Turck airport…suivant la loi de la digestion j’ai migré lentement du fumoir au café, première rencontre avec un photographe d’oiseau exotique qui vient du Bengladesh et qui m’a exhorté à lui rendre visite au plus vite… 

Istambull-Mumbay ;Trajet dans un monstre, les air bus de Turkish Airlines sont des Mobi-Dick du ciel, et moi un petit poisson a l’intérieur …trois films et qq turbulences plus tard nous arrivons en vue de Mumbay, une fois encore, l’approche de nuit par l’océan m’a remplis les yeux ; ciel et mer noires, sans ligne d’horizon pour les séparer, seulement la lumière des étoiles sur l’eau, dans le ciel, se confondant avec les lumières incroyables de Mumbay, la ville ressemble à un monstre sous-marin fluorescent sortie des eaux, une algue phosphorescente infinie venue régaler le ciel nocturne de sa lumière avant de replonger dans les abysses… je commence à réaliser que je suis loin de chez moi…   
Mumbay 5janv5(h du mat 
, l’aéroport ressemble à l’idée que je me fais de l’Éthiopie ; c’est chaud, suant et les passagers se suivent comme dans un camp de réfugiés pour caucasiens le long des interminables filles d’attentes. À la sortie, bonne nouvelle, l’hôtel que j’avais réservé n’existe simplement pas, j’évite les arnaques a l indiennes, et je fille sur les conseils d’un rasta et de sa meuf vers l’aéroport national, devant les prix je tourne le dos à l’avion  et je fonce en Rickshaw dans le ventre de cet immense serpent de mer qu’ est Mumbay .Dans le premier train local qui va vers c.s.t station, Me suis rendu compte que j’avais laissé mon bloc de dessin ds le rickshaw ! Je verse une larme sur les croquis que je ne ferai pas